Je n’ai rien à te dire que le silence d’un songe
L’immobile indolence d’une danse océane
Mots fragiles à l’image de la peur qui me ronge
Lignes courbes insolences d’une lune qui se fane
Si aimer est une composante fondamentale de la vie, alors la peur en est sa corollaire ; j’ai peint la peur de ne plus être aimée en ne laissant aucun espace vide sur la toile. Je m’accroche, il s’accroche, on s’accroche… l’une aux autres.