Il était une fois l’univers
Le big-bang et la lune
L’eau qui tangue et les dunes
Il était une fois le désert
Le silence et la danse
Des matins solitaires
Il était une fois l’océan
Et les flots échappés
Des gelures de l’hiver
La mer est trop vaste pour que j’ose m’y aventurer. Je la peins pour ses éclats mais je préfère rester à quai. Que d’autres embarquent sur ce bateau.