Je voudrais que tu coures
A perdre haleine
Pour devancer la vie qui nous emmène
Et que tu danses
Et que tu m’aimes
Le temps que je revienne
A toi
C’est la fin de l’hiver, une journée grise et sans relief. Comme souvent, je peins l’inverse du moment ; je remplace le silence et la stagnation par un surplus de couleurs et de mouvements fluides. Je peins le bruit.