C’est l’aube, allons
Il est grand temps
De te lever car elle t’attend
Là où toi tu ne l’attends pas
Au coin d’une rue
La main tendue
Comme un pont suspendu au-dessus des passants
Un sourire, un regard
Quelque part et pourtant
Tu soupires
Tu t’égares
Tu n’entends pas le chant des sirènes qui t’appellent
Si tu savais pourtant
Combien la vie est belle
Quand on croise le printemps
J’ai découvert les couleurs mais je ne sais pas choisir, alors je les prends toutes. Cela donne quelque chose d’extrêmement joyeux, comme un grand rire sur la toile.